Το Μακεδονικό Ζήτημα σε μια καινούργια "Ιστορία της Νεώτερης Ελλάδας"
Part of : Μακεδονικά ; Vol.15, 1975, pages 45-61
Issue:
Pages:
45-61
Parallel Title:
La question Macédonienne dans une nouvelle «Histoire de la Grèce moderne».
Section Title:
Articles
Abstract:
Le rédacteur de l’article traite les chapitres relatifs à la Macédoine et à la question Macédonienne dans le livre de l’historien Tassos Vournas «Histoire de la Grèce moderne» (Athènes 1974), qui dans son ensemble présente la période de l’histoire greque de 1821 à 1909. Il constate que ces articles ont été sommairement écrits de façon à dépasser de beaucoup les limites permises et avec une mise à jour bibliographique bien défectueuse. Aussi s’étonne-t-il que le travail de l’auteur ait été loué par certains critiques «pour les bons renseignements qu’ il offre et pour l’élaboration judicieuse de la matière». Pour montrer que dans la Grèce d’aujourd’hui la situation pour ceux qui s’occupent de tels sujets est bien différente de ce qu’ elle était dans le passé il donne un court aperçu de l’activité des Instituts spéciaux de Thessalonique, de la «Société des Études Macédoniennes» et de Γ «Institut des Études Balcaniques». Il soutient que si l’auteur avait exploité à son profit des ouvrages de valeur reconnue il aurait pu traiter son sujet avec succès. Dans trois autres chapitres du livre de Vournas il complète certaines omissions qu’ il juge fondamentales, rétablit des maladresses et corrige enfin des fautes parmi les plus graves. L’auteur termine son article en répondant à la question qu’il pose luimême, à savoir si aujourd'hui après l’heureuse amélioration des rapports de la Grèce avec ses voisins du nord et surtout avec Bulgares il serait utile de cesser de nous occuper de la question Macédonienne. Son avis personnel est que ce point de vue n’est point juste parce qu’il n’est par permis de passer sous silence l’histoire et ce qui est pire encore de la rayer. Il croit cependant que ce qui doit changer c’est la façon dont on doit exposer un tel sujet. Il est c’est-à-dire nécessaire de le traiter sans chauvinisme, loin de tout fanatisme, sans préjugés ni esprit d’intolérance, afin que l’amitié entre les peuples n’en soit pas lésée.
Subject:
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Notes:
856:https://ejournals.epublishing.ekt.gr/index.php/makedonika/article/view/6162, DOI: https://doi.org/10.12681/makedonika.607
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