Ἕνα ἀρχαῖο πόλισμα στὴν Ἐλευθερούπολη Νομοῦ Καβάλας
Part of : Τεκμήρια ; Vol.4, 1998, pages 31-60
Issue:
Pages:
31-60
Parallel Title:
Un ancien village à Eleuthéroupoli, dans le département de Kavala
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Articles
Abstract:
Un ancien village, appartenant à la colonie romaine de Philippes, a été localisé à Eleuthéroupoli, dans le département de Kavala. Des inscriptions et des documents archéologiques de l'époque romaine trouvés dans la région témoignent de sa présence. Les documents archéologiques indiquent que ce site a été habité, sans interruption, de l'époque préhistorique jusqu' à l'époque romaine. La première phase d'habitation de ce village a été localisée sur la colline qui se dresse entre les côtés NE de la ville et le cimetière moderne, sur le site de Paliampela. Ensuite, à l'époque romaine, le site s'est étendu à l'est de cette colline de Paliampela. Le cimetière du village romain se trouvait du côte de l'église post-byzantine de Ayios Nicolaos d' Eleuthéroupoli car, en dessous de cette église, il a été découvert une inscription funéraire de l'époque romaine (fig. 9; voir Th. Alimprantis, AD 29 (1973-4) Chroniques Β 3, 841, pi. 632 β-στ). Le nom de ce village romain reste inconnu. Une inscription funéraire (AD 23 ( 1968) Chroniques Β 2,356, pi. 303 a), qui faisait partie de la collection de Sofronios, l'archevêque d'Eleutheroupoli, donne deux noms de villages, Scevini et Antheritani (fig. 10). L'un de ces deux noms peut peut-être être attribué au site romain d'Eleutheroupoli. De la région située à l'est de la colline de Paliampela provient la première inscription votive (probablement du début de l'époque romaine) que Ton a du site romain (fig. 3). Cette inscription est une dédicace à Héron-Apollon, faite par le prêtre du temple d'Apollon, Publicius Iucundus. Cette inscription est publiée ici pour la première fois. Des inscriptions provenant de l'église d'Ayios Nikolaos d'Eleutheroupoli, déjà publiées précédemment, deux sont à nouveau publiées dans cet article. Le nettoyage de la première de ces inscriptions et le dégagement de la seconde du mur dans lequel elle était encastrée, permettent de faire des complètements et des corrections à leurs textes: I. AD 31 (1976) Chroniques B2, 337-8, pi. 266 γ (fig. 4,5). II. AD 31 ( 1976) Chroniques B2, 338, pi. 267 α (fig. 6,7,8)
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