Ερμηνευτικές προτάσεις στον Απόκοπο του Μπεργαδή

Part of : Ελληνικά : φιλολογικό, ιστορικό και λαογραφικό περιοδικό σύγγραμμα ; Vol.43, No.1, 1993, pages 125-172

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Pages:
125-172
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Propositions interprétatives sur l'«Apokopos» de Bergadis
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L'étude est structurée en neuf parties, chacune abordant une question précise (d'ordre général ou particulier) sur YApokopos. Plus précisément, dans la première partie, on décèle a) encore une source religieuse et b) une représentation iconographique de source jusqu'alors connue, c'est à dire de la quatrième parabole du roman Barlaam et Ioassaf. A partir de ces deux sources ainsi qu'avec l'aide d'éléments secondaires, l'auteur de cette étude s'est essayé à une nouvelle interprétation du symbolisme de la première phase du rêve. Dans la seconde partie, est abordée la lecture des vers 86-108. Il en résulte que Bergadis s'est fixé pour objectif de réussir un équilibre structurel (du discours) ou son renversement, chaque fois suivant les positions qu'il souhaite mettre en valeur. Dans la troisième partie, l'extension du «miroir des femmes» est précisément déterminé et l'objet de «Fanti-féminisme» et de la satire ecclésiastique est redéfini. Dans la quatrième partie, il est fait mention des points de vue qui ont été formulés jusqu'à aujourd'hui en ce qui concerne la patrie des deux jeunes. La théorie relative de A. van Gemert est rejetée suivant des arguments précis et une proposition est faite pour accepter l'écriture Λεοντάρι (du manuscrit de Vienne), ce qui ouvre de nouvelles perspectives dans la question de la détermination de la patrie des deux jeunes. Dans la cinquième partie, est interprété le fragment «problématique» des vers 435-444 qui concerne le «jugement» de la sœur des deux jeunes et l'apparition dans la trame de la narration des cinq «démons». Dans la sixième partie, sont commentés les points de vue divergents entre eux de St. Alexios et de A. van Gemert relativement à la fin de YApokopos et la position du premier est renforcée par une argumentation. Dans la septième partie, sont soulignées les ressemblances et les analogies qui existent entre YApokopos et les deux œuvres byzantines savantes, le Timarion et le Mazaris, ce qui donne l'impression que Bergadis devait connaître ces deux œuvres ou pour le moins un ensemble de textes semblables. Dans la huitième partie, l'auteur tente de dater l'œuvre dans une période chronologique élargie entre 1420 et 1509, et enfin dans la neuvième partie, la position de St. Alexios relativement au caractère de l'œuvre est mise en évidence.
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