Ή ακτινοβολία της "Ελληνικής γλώσσης δια της ιστορίας τού όρου βασιλική—basilica
Part of : Πλάτων : περιοδικό της Εταιρείας Ελλήνων Φιλολόγων ; Vol.ΚΣΤ, No.51-52, 1974, pages 277-288
Issue:
Pages:
277-288
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Abstract:
Si nombreux qu'aient été les travaux, qui ont été consacrés au mot β α σ ι λ ι κ ή - b a s i l i c a tout seul ou en relation avec d'autres termes ecclésiastiques (εκκλησία, κυριακή, μοναστήριον etc.), il manque une étude hellénique. L'auteur présente Γ histoire du mot β α σ ι λ ι κ ή - b a s i l i c a comme un exemple remarquable du rayonnement de la langue hellénique. D'abord il s'occupe du sens propre et figuré des expressions β α σ ι λ ι κ ή ο δ ό ς et β α σ ι λ ι κ ή σ τ ο ά en insistant sur la deuxième d'où se détache l'adjectif β α σ ι λ ι κ ή et dorénavant il aboutit à désigner Γ «église» ; ensuite l'auteur décrit l'expansion du terme b a s i l i c a en donnant les types les plus intéressants (basalca, basoche, baroche, bäserica etc.) dérivés du développement phonétique dans les différentes langues avec une référence aux termes ε κ κ λ η σ ί α et κ υ ρ ι α κ ή . Aussi il esquisse la controverse concernant la precedence de l'un sur les autres. Mais comme tous les savants sont d'accord sur la postériorité de κ υ ρ ι α κ ή, la question se pose sur e c c l e s i a et b a s i l i c a . Certains érudits soutiennent qu' e c c l e s i a a précédé b a s i l i c a . D'autres proposent le contraire. L'auteur se rattache au premier groupe en se fondant sur le fait que l'épanchement de la foi nouvelle s'est effectué pendant les deux premiers siècles en langue hellénique (dans laquelle ε κ κ λ η σ ί α avait déjà acquis le sens d' «église») tant en Orient qu'en Occident et que b a s i l i c a appartient à la terminologie plutôt latine, qui présuppose la latinisation complète. Enfin d'après l'auteur la conservation de b a s i l i c a dans le Sud-Est de l'Europe est due surtout à l'isolation de la population romanisée, qui se cachait pour éviter les envahisseurs, Huns, Avares etc.
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